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Gigaro

  • Photo du rédacteur: Octopussy
    Octopussy
  • 30 mai
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 juin

Comme une petite cachette

que la nature aurait gardée pour elle



Arriver par la mer à Gigaro, c’est déjà sentir qu’on change de rythme. La côte est plus douce, plus sauvage, loin du bruit et de l’agitation. En longeant les pins et les rochers, on tombe sur la crique de Jovat, comme une petite cachette que la nature aurait gardée pour elle. Pas de plage bondée, pas de musique, juste le clapotis de l’eau et le chant des cigales. L’eau est limpide, presque irréelle, et la lumière joue sur les pierres comme dans un décor de carte postale. La petite plage, coincée entre deux pointes rocheuses, donne l’impression d’être au bout du monde.

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